(dédié à mes camarades du groupe français au lycée)

 

L’année dernière à Paris, j’ai réalisé que je ne parle plus français. Aussi, j’ai entendu qu’ à Berkeley l’enseignement de langues, c’est très fort et vraiment intense. Donc, j’ai décidé que, à côté de la recherche, j’allais prendre une classe française. Finalement, j'aimais cette langue et peut-être j'en aurai besoin un jour... C’était une excellente idée. Nous avons une 50-minute classe chaque jour du lundi au vendredi. Le professeur est une espagnole étudiante doctorale en français, elle est très sympa. Il faut beaucoup travailler, écrire des compositions, faire des présentation en groupe, voir un film et écrire un essai analytique dont on a vu etc. Notre livre, c’est drôle. Tout de suite, la deuxième chapitre est du masculin/féminin où on discute le sexisme dans la société, les mouvements féministes, le pouvoir des hommes etc. Il y aura une chapitre de la politique, de l’indépendence, de l’identité française et une chapitre aussi des classes socio-économique, des riches et des pauvre. Je suis sûre qu’on va parler du capitalisme et de la répression quand on y arrive:) Mais nous nous occupons souvent de la culture aussi, et je peux déjà dire que j’apprends beaucoup. Il est finalement agréable d’apprendre quelque choses d'autre que les sciences économiques dans cette université. Aussi, cette classe me remplace un petit peu l’Europe. Aujourd’hui, nous avons écouté et chanté la chanson Sympathique” (vous tous savez: Je ne veux pas travailler, je ne veux pas déjeuner, je veux seulement loublier et puis je fume...”, https://www.youtube.com/watch?v=tp_FjgTVy2Y&feature=related), et brusquement, j’ai réaliser ce dont je manque le plus souvent de la vie américaine: les bars en pénombre et fumeux, un verre de bon cognac, des conversations sans but, le temps passé d'une façon absurde, la décadence...

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Kommentek:

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Bék 2011.09.30. 20:58:17

Hédi :)) Google Translate-tel olvasom, a vége állítólag ez: "és hirtelen rájöttem, mi hiányzik leginkább az amerikai életben: a sötét, füstös bárok, egy pohár jó konyak, beszélgetések profit, az eltöltött idő abszurd módon, a csökkenés..." Hát, ennek a(z első) felét értem csupán, de nekünk meg Ti hiányoztok Attissal a konyakok mellől, a füstös budapesti bárokból :))
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